LE FEU
Le feu, que tu es beau, et tu
es légendaire.
Les premiers hommes te considèrent.
Comme une
découverte.
Que de services, tu nous rends, on est
inséparable.
Tu nous réchauffe quand on a
froid.
Tu nous chauffe le coeur.
Mais là, c'est qu'une expression.
Tu
réchauffes nos aliments.
Si ce n'était pas interdit,
c'est imaginaire.
Je serais incendiaire.
C'est tellement beau.
Voir tes
flammes lécher, le bois, dans la cheminée.
Et tes couleurs, comme elles sont
belles,
ce rouge, comme le sang qui coule dans nos
veines.
Par contre, ce que je n'aime
pas.
C'est quand tu détruis une forêt.
Car non seulement tu enlèves, la
vie.
A ces grands arbres, millénaires.
Mais les animaux tu y
penses.
Ce n'est pas sympa.
Tu peux faire des choses bien,
mieux que ça.
Aidez l'homme c'est déjà une grande chose,
tu ne crois
pas.
Et les amoureux quand ils
parlent de toi.
Ils disent qu'ils ont le feu dans la peau.
Donc tu vois tu
peux être un ami.
Mais les fanatiques
te font une sale réputation.
Mais
tu sais il faut passer au-dessus de tout ça.
T'allumer, qu'a bon
escient.
Par pour détruire, mais pour aider les malheureux.
Dans la
rue.
Que l'on le veuille ou non sans prétention.
Tu es un ami, alors
pourquoi devenir
un ennemi.
Protège nous, ou le monde va finir dans les
flammes.
De l'enfer.
Que tu représentes.
Mais Méphistophélès n'est
pourtant pas.
Ton ami, alors je t'en prie,
arrête les gens qui meurent
d'avoir été brûlés.
Et soit gentil ne laisse pas
les enfants jouer,
avec tes flammes qui les émerveilles de
trop.
Tu es beau le feu.