LES RESTOS
C'est une grande institution maintenant.
Merci à son fondateur, qui ne
pensait pas quelle ampleur.
Avec le temps cela prendrais au fil des ans
"COLUCHE"
ou chaque hiver, ils font parti du décor.
Mais c'est le
parcours du combattant pour une admission.
On attend chacun son tour dehors
malgré la saison.
Ensuite les papiers, je sais qu'ils y a beaucoup de
bénévole.
Mais on est déjà humilié pour y rentrer.
L'on épluche vos
ressources, pour connaître vos droits.
Si vous dépassez de quelques euros,
bien que vous soyez pauvres.
On vous jette encore dehors.
Pourtant
certains travaille au noir, et s'en sortent.
Donc pas de problème dans le
froid,
ils auront de quoi se réchauffer,
malgré qu'ils auront
faussé.
La pauvreté est partout, pourquoi tricher.
Alors des passes
droits pour des malins
qui savent profiter des autres.
Chaque année, ils
sont des millions,
qui souffre de malnutrition.
Ainsi que de
l'abandon.
Ils sont pénalisé à foison.
Pour bénéficier
d'alimentation.
Après si vous avez la carte, cela donne droit à des
rations.
Ça améliore l'ordinaire, mais quelle dégradation.
Quelle
décadence en FRANCE de ces divisions.
Pourquoi les riches, les pauvres
?
Alors que tant de nourriture jetée sans modération.
Par des usagers
qui se moque du trop !
Qui ne compte pas, eux pas de dépression.
Ils
mangent à profusion, sans compréhension.
Les pauvres ont un coeur d'or, dans
la privation.
Puisqu'ils croient encore, chaque année à un nouveau
ressort.
Que l'humiliation va devenir une soustraction.
L'espérance les
rends plus fort, malgré leur résolution.
Il croit trouver du travail, pour ne
plus être marginaux.
Mais les sociétés ferment, plus de gagne-pain.
La
marche pour se chauffer, la galère, la cavale.
Font parti de leur
capital.
Alors nos enfants auront-ils un ouvrage ?
Pour que la
continuité se propage.
La situation est humiliante, mais en marche.
Tous
les ans le fonctionnement est du bricolage.
Mais le gouvernement que fait il
? "DU CANEVAS"
En tout cas mourir de faim en ce moment !
Ce diminuer
pour un aliment.
Ou est notre amour-propre, "au firmament"
JE LE
PENSE.
a ceux qui me liront,
pensez un peu aux
pauvres,
l'alimentation et l'amour compte.