27 juillet 2006
LA TOMBEE DE LA NUIT
L'horizon brunante se
couvrait,
D'une fine noirceur plaisante,
Où l'astre de nuit, présent
devenait.
Immobile en apparence,
Tel
un œil qui vous sourit,
Déposant sa transparence,
Sur les amants de la
vie.
Unique témoin d'ébats langoureux,
Plus doux que moins,
D'une
caresse d'amoureux.
Il se glissait, devinant la
volupté,
Apparaissait en ombrage découpé.
Quel plaisir, goûter à l'ombre
naissante,
Voir la lumière subir,
La distorsion
frémissante.
Sentir l'odeur, d'un clair de
lune,
La fraîcheur, de la caresse de la plume.
Fantasme ou réalité,
La
jouissante luminosité,
De cet astre de la nuit,
Qui dans le firmament
luit…..
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